
-- INTR
D
TI
N -
par
our sont susants pour couvrir les besoins dans la
plupart des cas.
i nous entrons plus dans les détails,
es
esoins en ca
cium
é
en
ent
e
a consommation
de sel et de protéines. Plus on en consomme et plus les
esoins en ca
cium au
mentent.
ar conséquent,
imiter
sa consommation de sel et man
er une quantité optimale
e protéines est une exce
ente straté
ie pour assurer
es
a
orts o
timaux en calcium
Les acides gras oméga-3
es aci
es
ras omé
a-3 sont un type particu
ier
e
ipi
es.
La carence en omé
a-3 est très
réquente et commune aux
mnivores et aux vé
éta
iens, ce qui montre une nouve
e
ois l’im
ortance de l’éducation nutritionnelle
our tous.
ous avons ten
ance à surconsommer
es omé
a-6 et à ne
pas consommer su
samment d’omé
a-3.
n trouve bea
coup d
omé
a-6 dans les plats industriels ainsi que dans
es huiles de tournesol, de
é
in de raisin et d
autres huiles
courantes du commerce
hormis celles citées plus loin
.
D
excellentes sources d
omé
a-3 à chaîne courte sont les
noix et
es
raines
e
in.
eur consommation, peu courante
y compris c
ez certains ve
a
,
evrait être
romue.
D
autres bonnes sources en omé
a-3 à chaîne courte sont
le to
u, les huiles de colza, de lin, de so
a et de noix. Les
mé
a-3 à chaîne courte
ALA
peuvent être convertis en
mé
a-3 à chaîne lon
ue
EPA et DHA
par l’or
anisme.
ette conversion est très variable suivant les personnes
et parfois, elle aboutit à des taux san
uins trop faibles en
mé
a-3 à chaîne lon
ue. Les vé
étaliens, qui par dé
n
ion ne man
ent pas
e poisson, peuvent consommer
es
sources directes d’omé
a-3 à chaîne lon
ue sous
orme de
capsules
abriquées à partir de microal
ues très riches en
DHA et en EPA (s
écialités du commerce comme
ti3,
Nui
ue ou
Fuhrman’s DHA Purity). Le complément Opti3,
u
on trouve sur le site www.opti3ome
a.com, semble être
le plus intéressant à l
heure actuelle. Il n
y a pas de preuves
bsolues de l
utilité de se supplémenter en oméga-3 à
haîne lon
ue, mais le bénéce est très probable. Une telle
u
lémentation est
ortement conseillée
our les
emmes
enceintes et allaitantes, qu
elles soient ve
an ou omnivores,
ar le cerveau du bébé utilise beaucou
de
HA
our
roître. Chez l’adulte, les omé
a-3 en
énéral ont un eet
éné
que sur le s
stème cardio-vasculaire et sur le s
stème
nerveux centra
.
existe
es ar
uments pour penser que
des apports optimisés en omé
a-3 protè
ent de la maladie
d
Alzheimer. Notons que certains poissons gras sont égale
ment de bonnes sources d
omé
a-3 à chaîne lon
ue. Ils
sont en
ait incapables de les
abriquer eux-mêmes, mais
ils les obtiennent en man
eant des microal
ues
pour les
poissons vé
étariens
, d’autres poissons
pour les carni
vores) ou des suppléments à base de microal
ues (pour
ceux élevés dans les
ermes a
uacoles). Les
oissons,
u
ils soient sauva
es ou d
éleva
e, ont l
inconvénient d
être
ré
uemment contaminés
ar des métaux lourds comme le
mercure ou d
autres toxiques comme les dioxines ou les
P
B. La sur
êche conduit
ar ailleurs à un é
uisement de
a ressource
a
ieutique qui remet en cause sur
e
on
erme
a consommation
e
oisson comme source
ossi
e
d
EPA et de DHA. Les microal
ues, aussi appelées «al
ues
microsco
i
ues», n
ont
as tous ces inconvénients et sont
donc une source très intéressante d
omé
a-3 à chaîne
lon
ue, d’autant plus que leur coût est très
aible comparé
à celui d
une consommation quotidienne de poisson. La
culture d
al
ues microscopiques pour les omé
a-3 à chaîne
lon
ue est donc une solution d
avenir
Le cas des femmes enceintes
Les
emmes enceintes peuvent tout à
ait être vé
étaliennes
pen
ant toute
eur
rossesse.
ne étu
e montre que
a
toxémie
ravidique, une maladie spéci
que à la
emme
enceinte se tra
uisant par une
pertension, est moins
réquente chez les vé
étaliennes que chez les omnivores
Le
oids et la taille des en
ants à la naissance sont com
a
rables à ceux de leurs homolo
ues omnivores. Les
emmes
enceintes
oivent tout
articu
ièrement se
réoccu
er
e
a
vitamine B12, de la vitamine D, du calcium et des omé
a-3
à chaîne lon
ue. Je conseille aux vé
étaliennes d
optimiser
leur nutrition dès
u
elles désirent tomber enceintes et non
d’attendre de l’être dé
à, dans l’intérêt de l’en
ant à naître.
L’
n
nt
mm
n
’h
it
r
i
r
nt
v
r
n
é
utissant
e
iqui
e amniotique.
e
oût commence ainsi
à se
ormer très tôt dans la vie
d’où l’intérêt de
aire un
e
ort
articulier sur la
ualité de son alimentation
endant
la
rossesse. L’en
ant aura ainsi plus de
acilité à aimer des
aliments bons pour la santé plus tard. Les conseils que l
on
donne aux
emmes enceintes omnivores sont valables
our
celles vé
étaliennes.
eules des adaptations mineures sont
à
aire pour prendre en compte les spéci
cités du vé
ét
lisme.
’il ne
allait en retenir qu’une, insistons sur la très
10-
arter
J. P.
Furman
T.
et Hutcheson
H. R.
Preec
am
sia an
Reproductive Performance in a
ommunity of Vegans
h
rn
i
rn
, 1987, vo
.80, n
, p.
-
7
CONSEILS NUTRITIONNELS POUR UN RÉGIME ALIMENTAIRE VEGAN ÉQUILIBRÉ