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es
é
umineuses, à ne pas
confondre avec les lé
umes, sont actuellement délaissées
alors
u
elles devraient tenir une
lace
rédominante dans
notre alimentation
comme c
était d
ailleurs le cas avant la
seconde
uerre mondiale. En e
et, les lé
umineuses sont
très ric
es en
rotéines mais sont aussi une source a
ré
ciable de
er
de zinc
de calcium et de
bres alimentaires.
De
lus, elles ont un
ouvoir de
révention du diabète de
t
pe 2 supérieur à ce
ui
es céréa
es, même comp
ète
Les lé
umineuses ont été presque abandonnées au prot
des céréales sous l
impulsion des politiques a
ricoles publi
ques.
posterior
, c
est une
rande erreur. Elles devraient
constituer la colonne vertébrale d
une alimentation vé
talienne et même de toute alimentation omnivore.
n sus
es
é
umineuses ont
es avanta
es a
ronomiques.
u que
ces vé
étaux sont capables de
xer l’azote de l’air, ils n’ont
pas besoin d
en
rais
Même si cela
eut étonner au
remier abord, l
étude de la
composition
es menus
e vé
éta
iens peu é
uqués en
diététique que l’on compare à ceux d’omnivores
é
ale
ment
eu édu
ués en diététi
ue, il faut le reconnaître)
met en évidence l
intéressant
hénomène suivant : les
menus vé
éta
iens sont en moyenne p
us proc
es
es
recommandations o
cielles
ue leurs é
uivalents omn
ores. La ration de
lucides complexes et celle de lipides
po
insaturés sont par exemp
e en mo
enne p
us proc
es
des recommandations o
cielles chez les vé
étaliens.
’est
’une des raisons
our les
uelles les
ersonnes
ui souha
tent diminuer la viande
le lait et les œufs ou les arrêter
com
lètement ne doivent
as s
in
uiéter outre mesure.
es
ue
ues consei
s sim
es
ro
osés
ans ce c
a
itre
ous
ermettront d’é
uilibrer
acilement une alimentation
e
an.
es omnivores ont autant
esoin que
es vé
éta
riens d’être in
ormés et édu
ués en nutrition. En e
et, il
aut
arder à l’esprit que l’alimentation des
ccidentaux
est de médiocre
ualité et
u
elle constitue un contre
exemple de ce qu’il
aut
aire. Tout le monde devrait se
réoccu
er
e son é
ui
i
re a
imentaire et
as seu
ement
es ve
an
es
ran
s principes é
ictés
ans ce c
apitre
- Bao
Y.
l.
ssociation of Nut
onsum
tion with Total and
New En
land Journal o
Medicine
2013
vo
.369
21, p.2001-2011; Fraser,
. E.,
i
i
n
Between Diet and
ancer
Ischemic Heart Disease
and All-
ause
Mortalit
in Non-Hispanic White California Seventh-Da
Adventists
Th
m
ri
n
rn
l
f
lini
l N
ri
i
1999
vol. 70
n
p.532
-538
.
6- Jenkins
. J.
Eect of Le
umes as Part of a Low Gl
cemi
Index Diet on
l
cemic
ontrol and
ardiovascular Risk Factors in
T
pe 2 Diabetes Mellitus: A Randomized
ontrolled Trial
r
hiv
In
rn
l M
i
in
2012
vol.172
21,
.1653-1660
sont lar
ement su
sants pour
aire au moins aussi bien
ue des omnivores
rêtant attention à leur santé. Si vous
souhaitez a
ro
ondir vos connaissances sur l’é
uilibre
nutritionne
u vé
éta
ien, nous vous invitons à vous
rocurer un exem
aire
u
uide du vé
étarien débutant
édité par l
Association vé
étarienne de France, qui, mal
ré
son nom, a
or
e essentie
ement
es as
ects
rati
ues
de l
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étalienne et presque pas ceux d
une
a
imentation ovo-
acto-vé
étarienne.
our p
us
e
étai
s
sur les béné
ces pour la santé, vous pouvez é
alement lire
a traduction en
ran
ais de la position o
cielle de l’Ass
ciation américaine
e
iététi
ue
is
oni
e sur
e site
e
’AP
AR
Où trouver les protéines?
es trois principa
es sources
e protéines vé
éta
es sont
les lé
umineuses (à ne pas con
ondre avec les lé
umes
ui contiennent très peu de protéines
, les céréales ainsi
ue
es o
éa
ineux.
armi ces trois sources,
a consomm
ion de lé
umineuses ainsi que de
ruits oléa
ineux doit
être particulièrement encoura
ée en raison des bénéces
particuliers pour la santé qu
ils apportent. Parmi les lé
u
mineuses,
e so
a a
es caractéristiques particu
ières, ce
ui en
ait un aliment un
eu à
art.
a com
osition en
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L'auteur
Le Dr
érôme Bernard-Pellet est un médecin
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